Horace, à votre service

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Horace, le coup de frais vivifiant qu’il manquait à votre toilette.

« Homme re-densifieur Force », « Regenium-XY », « Active clean », « Sport + »… Si on dirait des noms de (mauvais) personnages de (mauvais) films de série Z, ce sont en fait les termes qui nous informent sur le contenu des bouteilles de shampoings et autres savons que l’on achète toutes les semaines. Entre la roquette et le gros sel, on les mets dans son panier au supermarché sans trop y penser. Pourtant si on s’intéresse de près à notre alimentation, les marques de cosmétiques ne nous renseignent que trop peu sur les effets et le contenu de ce que l’on étale si consciencieusement sur sa peau tous les matins.
Bien sûr, il est assez facile de se laisser séduire par un produit plus qualitatif, avec une belle fiche détaillée dans une boutique cossue du 3ème arrondissement de Paris. L’exercice de faire rentrer sur le long terme la bouteille concernée dans la panoplie quotidienne est un peu plus difficile. La boutique est loin, les basses mal réglées vous donnent la migraine, les vendeurs changent en permanence et vous avez besoin de conseils au calme. De fil en aiguille vous vous évitez cette corvée et réservez votre week end pour vous éloigner du stress urbain à la recherche du déodorant parfait.

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Septième Largeur – Rive Gauche

Une photographie incroyable, pleine de réverbération artistique.

 

Vous avez été nombreux à me dire avoir été ravis de découvrir Septième Largeur et leur showroom de la rue St Lazare, hé bien ils viennent d’ouvrir un autre point de vente sur la rive gauche. Comme pour leur première adresse l’équipe passionnée de la boutique a été rigoureusement sélectionnée et sait avoir le juste conseil qui sied à un chausseur sûr de son produit. La collection se compose également de grands classiques de la chaussure présentés dans un environnement agréable, sans fioritures et très bien situés en terme de prix. Vous retrouverez donc ce nouvel espace au 5 rue Coëtlogon dans le 6ème arrondissement de Paris. La boutique est ouverte du lundi au samedi, de 10h à 19h sans interruption et vous pouvez la joindre au 09 80 49 27 49. Pour les plus férus d’entre vous qui n’arrivent plus à trouver un coloris de prêt à porter satisfaisant (si si ça existe), Septième Largeur propose également un service de patine à façon. Voyez plutôt.

http://www.septiemelargeur.fr/

The Broken Arm

The Broken Arm : nouvelle boutique dans le haut-marais

Parmi les nombreuses ouvertures de boutique ayant eu lieu dans le haut-marais cette année, attardons-nous sur une des plus récentes. The Broken Arm, située rue Perrée depuis déjà quelques semaines, a été fondée par trois membres du collectif derrière le blog De Jeunes Gens Modernes, que l’on suit déjà depuis quelques années.

Les fondateurs de la boutique, après des expériences auprès de divers cabinets de conseil mode et luxe de la capitale, ont fait le pari d’un positionnement encore rare dans le quartier en réunissant des marques de créateurs comme Kenzo, Carven, Raf Simons, Cristophe Lemaire, 3.1 Phillip Lim ou encore Jacquemus. La boutique propose aussi une très belle sélection de livres à table basse, de bijoux par Aurélie Biderman et de fantastiques accessoires en cuir végétal naturel par Isaac Reina. En plus de tout ceci, le 12 rue Perrée accueille aussi une petite salle de café, où l’on pourra notamment déguster de petits plats et qui s’annonce déjà difficile d’accès.

Le lieu vaut le détour rien que pour son aménagement : des panneaux en bois brut, des structures métalliques, des plantes, tout ceci dans des tons doux et un esprit moderne. On apprécie particulièrement la moquette jaune et les fauteuils Guariche du sous-sol, peut-être parce qu’on commence à se lasser de voir des sièges Eames partout ?


The Broken Arm
12, rue Perrée
75003 Paris
+33 1 44 61 53 60

AMI par Alexandre Mattiussi

 

Lancée au début de l’année, AMI est une jeune marque parisienne qui semble prometteuse. Riche d’un parcours dans la création pour des enseignes de luxe telles que Dior, Givenchy ou Marc Jacobs, Alexandre Mattiussi décide de lancer sa propre marque peu avant ses 30 ans. Voulant toucher un public plus large, notamment ses amis, les collections sont simples, bien arrangées, ont les pièces qu’il faut et restent éloignées de tout délire créatif. Le créateur explique « Il n’y a pas de fantasmes dans cette collection, ce sont des vêtements pour la vraie vie ». Je me souviens avoir entendu qu’Yves Saint Laurent aurait développé « Rive Gauche » notamment pour que ses amies – et pas uniquement des stars et des princesses – puissent aussi porter ses créations. Les amis sont décidément de bonnes sources d’inspirations. D’ailleurs cette notion d’accessibilité se retrouve dans le dernier défilé, qui était ouverte au public car mettant en scène des mannequins prenant simplement des verres sur une terrasse parisienne.

La première collection sera disponible au Bon Marché et chez Mr Porter d’ici quelques mois. Niveau communication on sent la marque proche de ses consoeurs du luxe, organisant des défilés et trouvant du coup un écho dans les médias les plus suivis. Cela reste tout de même plutôt sage niveau prix : vestes à 400 € et chemises autour de 120 €.

Il faudra maintenant attendre l’arrivée en magasin pour juger des coupes, du sizing, des finitions et des matières, qui sont sûrement ce qu’il y a de plus important lorsqu’on reste éloigner de tout « fantasme » créatif. Alors qu’APC a un peu perdu de son aura de marque exclusive, AMI pourrait bien être un sérieux challenger.

Je vous invite à faire un tour sur leur site pour voir la vidéo de présentation de la collection de cet hiver, qui est très réussie. En attendant voici quelques photos de la collection suivies de photos de la collection printemps – été 2012.


Automne-Hiver 2011

 

Printemps-Été 2012

Evolution du polo de rugby



La prochaine coupe du monde du rugby n’est plus qu’à quelques mois et les plus gros équipementiers ont mis en avant toutes leurs innovations pour faire des polos des joueurs de vrais atouts pour gagner: aide au mouvement, tissus techniques pour rester frais en toutes circonstances, tenues ultra-moulantes pour que les filles s’intéressent au rugby et poussent leurs copains à s’ en acheter un… bref, c’est bien beau tout ça mais le polo de rugby n’a pas toujours ressemblé à un sous vêtement. Il fut une époque où il se portait un peu large (pour le confort), rentré dans le short (en début de match), où il avait un col, et où nous n’avions pas besoin d’acheter une version « de ville » pour porter fièrement les couleurs de notre équipe préférée sans avoir l’air de sortir d’une salle de sport.


La Soule serait un des ancêtre du rugby. À ses débuts, il n’y avait pas vraiment de règles claires

Aux origines du sport, au milieu 19ème siècle, autant dire qu’il n’y avait pas d’uniforme dédié. Les gens jouaient entre eux dans la rue après le travail, dans leurs habits de travail et les chaussures qui vont avec. Les équipes allaient parfois jusqu’à plusieurs centaines de chaque côté, le tout se rentrant gaiement dedans et se savatait à coup de chaussures coquées et crantées pour récupérer la balle. Le « hacking » était la règle authorisant les joueurs à se donner des coup des pieds. Elle fut par la suite limité au haut du corp, puis, heureusement, interdite. Nous étions bien loin des règles actuelles. Le début de l’uniforme vient des joueurs de l’école de Rugby, qui en 1871, pour jouer, portaient leurs uniformes classique: casquette en velour, chemise boutonnée, noeud papillon, vestes légères, culottes courtes et chaussettes rayés avec des chaussures renforcées aux pieds. Il est fait mention de joueurs qui métaient des bandes de cuirs sous leurs chaussures en diagonale pour avoir plus d’appui. Un exemple pour le moins étonnant est celui du capitaine de l’équipe d’Irlande en 1891 qui lors d’un march contre l’Écosse, portait son monocle et l’enlevait seulement avant de faire un plaquage. J’ai du mal à imaginer Chabal avec un monocle…

Les nouveaux polos de rugby ont rendu cette action plutôt difficile

Après avoir évolué vers le jersey en coton puis vers le polo fait de matière technique bien moulante, le polo est passé par de biens différents aspects. Si vous êtes nostalgiques ou fan de polos de rugby bien retro, Sports d’Époque s’est attaché à reproduire au plus prêt les polos portés par les équipes au fil du temps. Fait en France et en partenariat avec le Musée Nationale du Sport, ces maillots montrent bien l’évolution du maillot de rugby.



un exemple comtemporain

Si vous voulez en savoir plus, trouver plus de photos, vidéos et vieilles publicités en rapport avec le rugby pourra vous aider, voici de quoi commencer: Rugby Pioneers, Rugby Relics et Rugby Football history

On vous laisse avec quelques photos pour une approche plus visuelle du sujet.


Nous sommes ouverts !

L’illustration que vous avez pu admirer en attendant, réalisée Rebecca Genet.

Enfin ! il était temps, La Belle Échoppe est ouverte ! comme vous le savez sans doute déjà, nous vous y proposons une sélection de produits, de vêtements comme de beaux objets, ayant été fabriqués en France. Si redingote ne traite que de vêtements masculins, nos lectrices auront tout de même le plaisir de pouvoir y retrouver quelques éléments qui leurs sont destinés. Outre la boutique, un blog sera également dédié à son actualité et à l’univers du Made in France juste ici.

Vous pouvez donc accéder au site en suivant ce lien, nous rejoindre sur Facebook et sur Twitter si vous le souhaitez. Si vous avez la moindre question ou même suggestion n’hésitez surtout pas à nous la soumette en utilisant cet e-mail: contact[at]labelleechoppe.fr . Nous espérons vraiment que le site vous plaira et que vous y trouverez votre bonheur (enfin une partie évidement). La sélection se compose pour l’instant de pulls marins et marinières LeMinor, de couteaux de poche Opinel, d’espadrilles de Mauléon, de sacs Bleu de Chauffe et Trémoulière, de chemises et de robes FrenchTrotters, de Papier d’Arménie, de savon de Marseille, de papeterie La Compagnie du Kraft, d’eaux de Cologne Institut Très Bien, de chaussures Empreinte… et la liste va bien évidement continuer de grandir au fur et à mesure de nos découvertes !

Je ne peux pas résister à vous laisser avec quelques photos des produits que vous allez pouvoir y retrouver, n’hésitez pas à nous donner vos impressions.

 

Un bel Opinel n°8, avec le manche en corne.

Une marinière Le Minor, tricotée en Bretagne.

Un grand classique, le carnet triple de Papier d’Arménie.

Un bloc de 300g de savon de Marseille, frappé du logo, on a pas pu résister.


La moleskine – Histoire d'un tissu



Veste en moleskine – LL Bean

Le workwear ayant eu ses heures de gloire récemment, on a beaucoup parlé de moleskine, la matière de référence pour le workwear français. Mais qu’est-ce que la moleskine?

Le nom moleskine vient de l’anglais « mole skin », qui signifie littéralement « peau de taupe » en référence au touché de la matière. Le dictionnaire Larousse en ligne définit la matière comme étant une « Étoffe de coton lustré, que l’on employait autrefois pour faire des doublures de vêtements » ou encore une « Toile vernie imitant le maroquin ou le cuir, constituée par une étoffe recouverte d’un enduit et d’un vernis. (Elle est utilisée en gainerie et en reliure.) ». Le mot décrit aussi un type de cuir tel que celui qui recouvre les carnets de la marque du même nom. Finalement, une ancienne définition de 1668 décrit la moleskine comme « désignant la fourrure de peau de taupe ou toute fourrure dont le rasage des poils lui donnerait un aspect semblable » élargit en 1803 à « surface du tissu étant rasée au cours de la fabrication de ce velours ».

Au cours de mes recherches, j’ai également regardé la définition dans l’Eternel masculin, de Bernhard Roetzel, qui renvoit la matière au velours. Bref me voilà perdu face à des définitions bien différentes, surtout que certains forums anglophones tel que askandyaboutclothes parlent de la moleskine vernie comme d’une hérésie. Alors d’où vient cette matière?



Des fabricants d’acier à Sheffield

Certaines sources parlent de sa première utilisation par les fabricants d’acier de Sheffield, en Angleterre, pour ses qualités protectrices : la matière étant tissée très serrée et ayant des « poils » courts, l’acier fondu glissait dessus, protégeant les ouvriers des éclaboussures. La moleskine était utilisée dans la fabrication de leurs pantalons mais aussi des tabliers.

Le tissu est de la famille des futaines, tissé serré et en coton brossé lui donnant un effet duveteux qui est ensuite tondu pour lui donner cet effet peau de taupe. Tout comme le jean, la matière est connue pour être solide et s’embellir avec l’âge avec l’avantage supplémentaire d’être chaude et donc adaptée pour l’hiver.

Comme le souligne Mr.Freedom dans son interview pour Hell’s Kitchen, ce qui fait la différence entre le workwear français et américain est l’utilisation de matières différentes: la moleskine pour les Français et le denim pour les américains.



Pantalon en moleskine blanc pour tailleur de pierre

En France, le vêtement de travail s’est développé à la fin du XVIIe siècle en réponse à l’évolution de l’industrie. Les vêtements étaient alors constitués de tissus en coton tissé de manières différentes tel que le velour, le satin et la moleskine. Ce n’est qu’au début du XXe siècle qu’Adolphe Lafont a eu l’idée de créer des habits adaptés à chaque profession avec pour exemple un pantalon en moleskine blanc et une veste en velour noir pour les charpentiers.



Un largeot en velour – Le Laboureur

Ce pantalon, du nom de largeot, s’est vu attribué une couleur différente selon la profession de celui qui le portait: écru pour les tailleurs de pierre et sculpteurs, noir pour les charpentiers et couvreurs et marron pour les menuisiers ou ébénistes. Les mécaniciens et chauffeurs se sont quand à eux vu dotés de la couleur bleue, d’où le nom « bleu de chauffe » pour décrire ce vêtement. Les teintures artificielles n’existant pas, l’indigo était utilisé pour teindre ces vêtements leurs donnant les mêmes capacités de délavage que le jean.

Comme l’a définie le Larousse, la moleskine était bien utilisée « autrefois » pour les doublures et encore aujourd’hui, notamment pour les poches de Barbour. Si vous vous étiez déjà demandé comme moi quelle était cette matière chaude et douce dans laquelle vous fourriez vos mains au moindre coup de vents cet hiver, nous voilà fixé!



Pantalon d’ouvrier en moleskine bleu – Le Mousquetaire


Pantalon en moleskine – Lambourne

Crédit photo: la vie en bleu de travail, Flickr, Google images

Damart – Froid Moi? Jamais!



 

Usine Damart à Bingley, Royaume Uni

Il n’a pas fait aussi froid en Europe depuis un bon bout de temps. Avec des température allant jusqu’à -15°C à Orléans et -19,5°C dans le centre de l’Angleterre, un des soucis principaux le matin face à sa penderie est surement de s’habiller chaudement sans pour autant avoir l’air d’un bibendum Michelin.

Que ce soit la ligne Heat Tech de Uniqlo ou l’équivalent chez Gap, le sous-vêtement technique semble être une bonne approche pour garder la chaleur et éviter de rajouter quelques couches de vêtements par dessus sa tenue.

Uniqlo en particulier a frappé très fort en communicant beaucoup sur sa gamme, nous faisant presque oublier qu’une marque Française est déjà sur le créneau depuis plus d’un demi-siècle: Damart.

Cela peut sembler étrange que nous parlions de cette marque sur Redingote. Pourtant, certains de nos lecteurs nous on déjà fait la remarque: nous parlons beaucoup de marques étrangères alors que certaines entreprises font aussi de très bon produits en France, et on ne peut qu’approuver.

On ne dira pas le contraire, l’image de la marque aura plus tendance à vous faire rentrer dans ses magasins accompagné de votre grand-mère plutôt que de votre petite amie. Cela dit, si vous parlez avec vos grands-parents de Damart, une bonne partie d’entre eux en ont sûrement déjà porté ou du moins en ont entendu parler depuis un bon bout de temps.


Moi le premier, je me suis franchement posé la question: est-ce que je serais prêt à acheter du Damart sans avoir peur de laisser dépasser l’étiquette? et après réflexion, je pense bien que oui.

La cible première de la marque sont les séniors ce qui explique peut-être que la communication n’attire pas plus que ça les jeunes actifs. Après, nous aimons porter des vestes en tweed et des pantalons en velours, donc pourquoi pas du Damart?

L’origine de Damart remonte à 1858 avec la création d’une usine de tissage de Laine par la famille Despature à Roubaix. S’ensuit la commercialisation de la fibre Thermolactyl en 1950 qui donne naissance à la marque de VPC Damart trois ans plus tard. L’innovation de la fibre Thermolactyl vient de la création de poches dans la fibre qui emprisonne l’air (le meilleur isolant au monde), tout en laissant respirer la peau. Les propriétés calorifiques de la fibre sont mises en avant par l’agence Havas qui lance le slogan qui assurera le succès de la marque pendant de longues années: « Froid moi? Jamais! ».


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Depuis sa création la marque a étendu son marché aux USA et à plusieurs pays Européens. Elle a également continué à innover au niveau textile en développant de nouvelles fibres rafraîchissantes (Ocealys), climatisantes (Climatyl) mais aussi amincissantes et hydratantes. Ces derniéres concernent certainement moins les hommes, mais restent innovantes. La fibre à l’origine de leur succès à également fait l’objet d’innovations avec l’ajout de modal (fibre aux propriétés absorbantes à base de cellulose), microfibres ou encore cristaux absorbant les rayons infrarouges pour garder la chaleur du corps. Si certaines de ces innovations peuvent sembler plus commerciales qu’innovantes, la publications d’articles de recherche dans des journaux académiques tel que l’ « International Journal of Clothing Science and Technology » par des chercheurs de la marque, prouve que ce n’est pas pris à la légère.


Suite à la vague de délocalisation qu’ont connu les entreprises textiles Françaises, Damart tient bon jusqu’en 1997 puis délocalise 70% de sa production en Tunisie, gardant la production de ses produits Thermolactyl à Roubaix.
En 2007 la marque décide finalement de délocaliser le reste de sa production en Tunisie mais garde son bureau de recherche et de développement dans ses locaux.
Les différentes organisations s’occupant de Damart à l’étranger étaient, quant à elles, chargées de trouver leurs propres fournisseurs, ce qui explique la présence d’usines Damart aux USA et au Royaume-Uni. Le siège de la marque a désormais décidé de rationaliser sa production et de ne garder que ses meilleurs fabricants à l’étranger.

Après une période difficile, la marque est désormais sur une très bonne pente et progresse à l’international et sur le Net. Cette progression est marquée par le lancement d’une nouvelle offre avec Damart Sport qui propose des vêtements spécifiques aux sports allant de la natation au ski.

Avec des prix comparables à ses concurrents internationaux, Damart représente surement une bonne alternative dans l’offre des sous-vêtements techniques malgré son positionnement quelque peu « vieillot ». Après tout, si l’image vous dérange mais que vous aimez le produit, qui saura que vous en portez sous vos vêtements?


D’autres publicité Damart sont disponible sur le site de l’INA

Be Linen – La clé du lin


Au travers de cette vidéo de Benoit Millot vous pourrez découvrir la filière complète du lin. De la récolte à la confection de vêtements ou de décoration, le réalisateur nous emmène dans différents endroits en France et en Italie et parvient à nous immerger dans l’univers de cette matière dont nous sommes loin de soupçonner toutes les propriétés. Une vidéo comme on les aime.

vu sur Kitsuné Noir




BE LINEN MOVIE from Benoit MILLOT on Vimeo.


Le Nouveau Magasin

Une belle nouvelle adresse française ! Le Nouveau Magasin a ouvert il y a maintenant quelques semaines à Orléans et s’inscrit directement dans le rang des bonnes boutiques grâce à sa sélection, sa décoration et la qualité de son site en ligne (réalisé par l’excellente agence Rue Pavée). En plein centre ville la boutique s’étend sur quelques 350 mètres carrés et présente des pièces issues des collections d’ Our Legacy, Acne, A.P.C., The North Face, Norse Projects, St James, Mont Saint Michel, Made and Crafted, Levis Vintage Clothing, Dockers, Happy Socks, S.N.S, Alternative Apparel, Fillipa K, Barbour, Lyle and Scott… le blog d’Archiduchesse en parlait il y a quelques jours, elle devrait donc rejoindre la liste de distributeur de la marque de chaussettes françaises. Au niveau des chaussures, vous y trouverez entre autres les pieds d’ Opening Ceremony, Veja ou Vans.

Le Nouveau Magasin s’offre également une sélection streetwear avec quelques bonnes marques dans ce domaine: Huf, The Hundreds ou Obey.

N’échappant pas aux rouages du marketing sur internet, vous les retrouverez également sur Twitter et Facebook et les suivre sur un blog, où ils diffuseront d’ailleurs un mix à télécharger.