Très Bien Shop World Tour

Ambiance James Bond, côté méchants.


Ils règnent sur la fashion-toile depuis quelques années déjà et sont prêt à se déplacer dans les plus grandes villes du monde pour tester leur force de frappe. Très Bien Shop organise un World Tour courant le mois de mai et ouvre une boutique éphémère à Paris le vendredi 10. Rivalisant sur les réseaux sociaux avec l’incomparable Mr Porter (ce dernier ayant beaucoup plus de moyens) c’est en tout cas le premier à aller rencontrer ses clients en chair et en os. Bref, je serais sûrement parmi les premiers à aller chercher mon t-shirt cadeau le 10. N’hésitez pas à nous contacter par mail (redingote.fr@gmail.com) si vous voulez aussi aller jeter un coup d’oeil, ça me ferait plaisir aussi de vous rencontrer. Sinon il vous suffit de télécharger l’application de l’évènement sur votre iPhone. Et non, je n’en ai pas non plus (pour ceux d’entre vous que je voyais déjà râler).

Dylan et sa M-51


Dylan et sa veste militaire préférée, merci !

Salut Dylan, qu’est ce que c’est que cette veste ?

C’est une M51 field jacket, celle d’avant la M65. Elle est assez méconnue: la capuche est amovible et elle est dotée d’un col chemise. Le tissu, du satin coton, et le coloris sont incroyables, c’est le fameux OG107. Elle a une belle patine et un lining original.

D’où est ce qu’elle vient ? elle a une histoire particulière ?

Elle vient d’une friperie dans le sud, « Pin-up » à Avignon. Une des plus belles fripes de France, elle n’a pas ce côté prétentieux du vintage. Sinon elle n’a rien d’extraordinaire.

Et toi, tu as une histoire vécue avec cette pièce ?

Non. Il s’agissait d’une belle journée de printemps, il faisait 10°, il y avait un peu de mistral et j’avais besoin d’une veste qui m’apporte un peu de chaleur immédiate. C’est un matériau lourd qui coupe bien du froid, ce devait être un bon compagnon pour un soldat.

Qu’est ce que tu aimes ou recherches en général quand on touche au vêtement ?

J’aime les pièces de tous les jours, faciles à porter bien coupées et réalisées dans de belles matières.

Une bien jolie patine sur cette toile en OG107.

 

Qu’est ce que tu penses de la mode en général ?

J’en pense rien à part que ça nous occupe, c’est cool (il sourit).

Quelle marque a particulièrement retenu ton attention ces derniers temps ? Pour toi la notion de marque est importante ? qu’est ce que tu recherches chez une marque ?

Aucune en particulier, je pense qu’il y a du bon chez tout le monde. J’ai tendance aujourd’hui à plutôt m’intéresser au produit lui même et aux gens qui sont derrière les labels.

Est ce que l’usure est importante ?

Une pièce usée sera plus confortable et aura plus de caractère, elle fera aussi moins « endimanché » qu’une pièce neuve et rutilante. C’est aussi intéressant de se dire qu’elle retrace la vie d’une personne. Je ne cherche pas à patiner mes vêtements, je les laisse vivre, ça se désintègre de manière naturelle.

Est ce que ça n’est pas dommage de se dire qu’une pièce, même premium, devra forcément se dégrader ?

Oui c’est chiant, mais on a connu plus grave non ? 😉

FrenchTrotters, qui monte qui monte…

Street teasing !


Ça fait quelques mois que la presse spécialisée en parle et vous l’avez peut être déjà lu sur quelques blogs ça et là sur les internets mais il fallait qu’on vous en touche deux mots parce que nos partenaires qui ouvrent une nouvelle boutique de 200m2 à Paris même pas 7 ans après leur premiers pas, ça nous fait forcément un petit quelque chose.

Située au 128 rue vieille du temple, à deux pas de l’actuelle boutique FrenchTrotters Homme, le grand et nouvel espace sera l’occasion d’introduire, aux côtés de l’homme, la sélection femme de FrenchTrotters en plein coeur du Marais à Paris. Déjà proposées dans la boutique du 30 rue de Charonne près de Bastille, vous pourrez retrouver dans ce nouveau lieu certaines marques chères à l’enseigne parisienne ainsi que les lignes FrenchTrotters pour la femme : Michel Vivien, Pomandere, Avril Gau, Laurence Doligé se feront donc également un plaisir de se pavaner dans les rayons.

Côté homme on retrouvera également la ligne FrenchTrotters, quelques unes des marques qui ont fait le succès des boutiques et des nouvelles venues dans la sélection: Gitman Bros, Enginereed Garments, Nigel Cabourn, Nanamica, Alden, SNS, Levi’s Vintage et Barena seront donc de la partie.

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, Carole et Clarent proposeront une sélection inédite d’objets, de linge et de mobilier dans un espace reservé à la déco intérieure et à la maison, y seront proposées entre autres les créations d’Astier de Villate, Lab. , Khadi & Co et Linge Particulier.

Connaissant le goût certain du couple de dénicheurs de belles choses, on peut être sûr que l’aménagement de la nouvelle boutique sera à la hauteur et qu’il détonnera forcément de l’ambiance habituelle des boutiques environnantes. À n’en pas douter vous y retrouverez également un staff incroyable ayant toujours le bon conseil et le compas dans l’oeil.

Allez, plus qu’un bon coup de peinture…

Diastème


Un paquet Diastème ! Notez le papier de soie impeccable.

 

Le foulard pour homme, ça reste assez compliqué avant de se lancer. Le truc conserve ce côté un peu épineux pour n’importe qui ne s’intéressant pas de près aux concours de style quotidien organisé par les internets via The Sartorialist, Neo Retro Streetstyle (le nouveau né), Mister Mort et consort. Même par une journée un peu froide, il faut déjà toucher sa bille pour pouvoir se permettre d’arborer une étole à motif sans avoir l’air d’être déguisé.

Une fois le pas franchi, les rires des amis affrontés, l’appréhension dépassée, on se rend compte qu’il est finalement assez facile de se balader avec un fourreau noué autour du cou. Il passe même parfaitement pour l’alternative bienvenue à la cravate qui serre un peu trop le gosier par les beaux temps qui courent (avec le retour du soleil quoi), en ayant l’avantage d’être l’opportunité de saupoudrer une pointe de fun sur sa garde robe.

À l’origine de Diastème, Thomas Germond voyait déjà ça d’un oeil différent. Pendant les quelques années qu’il a passé à imaginer son projet autour du foulard, la pièce n’était plus seulement pour lui qu’un accessoire textile par excellence mais devenu un élément complexe auquel on pouvait donner ses lettres de noblesses avec un peu de travail, qui pouvait également devenir un moyen d’expression à part entière. Bref, une pièce mêlant exigences qualitatives et esthétiques tout en donnant une liberté créative assez large. Le côté qualitatif de l’étoffe lui a donc beaucoup tenu à coeur le long de son processus : il fallait réussir à proposer un produit de luxe, agréable au toucher comme au porté, qui ne deviennent pas une écharpe trop épaisse et sur lequel le motif passerait bien l’épreuve fatidique de l’impression.

Thomas, au travail.

Une DA exigeante par Laurent Laporte devait terminer de parfaire les produits développés par Thomas : imprimés de cartes de constellations, planches botaniques, tableau de noeuds marins ou interpretation du fameux bandana « Paisley » que l’on retrouve dans la poche des élégants depuis peu et au cou des motards depuis toujours. S’ils ont pensé à tout le monde (hé oui mesdames, vous y avez droit), ils ont également voulu vous imaginer dans toutes les situations : vous trouverez dans la collection Diastème un élégant fourreau en soie, recouvert d’un incroyable imprimé « Pin-up » qui sera parfait pour agrémenter votre tenue lors d’une garden party chic et guindée cet été. Vos convives et autres invités attentifs s’amuseront forcément du détail donné par cet accessoire astucieusement décalé.

Le fameux motif Paisley, ici en « boule de feu »

 

Pour achever de vous (nous) plaire totalement, la réalisation est belle et impeccable : tissés et fabriqués en France par quelques un des meilleurs spécialistes de la soie, la qualité d’impression est irréprochable. Par souci de cohérence, le modèle Hawaï fera exception: réalisé en rayonne, comme les chemises hawaïennes (DA oblige), le tissage aura surement été effectué dans un pays du tiers monde, par des enfants aveugles : je passe donc les détails de l’impression qui pourraient heurter la sensibilité de nos lecteurs les moins aguéris au lourd bilan de l’industrie textile. Cerise sur le gâteau, le packaging est lui aussi très efficace : papier de soie de haute qualité (là aussi réalisé par un géant en la matière), papier kraft pour protéger, coup de tampon pour sigler, et hop, on vend du très haut de gamme. L’ensemble de la collection Diastème est disponible sur le site de la marque et une jolie sélection a également sa place sur La Belle Échoppe.

Et paf, qualité d’impression incroyable. Chapeau les mecs !

Une étiquette aussi joliment brodée, on était obligé.

Marc et sa Patagonia

Mesdames et Messieurs: Marc Sutton, pulling it off.

Un grand merci aux quelques-uns d’entre vous qui nous ont proposé leur participation ! A la fin en recoupant tous les points de vue regroupés ici on devrait avoir quelque chose de bien. Marc Sutton en revanche je ne suis pas allé le chercher très loin : il écrit notre rubrique Fourchette à ses heures perdues et nous régale de ses belles (mais trop rares) recettes de cuisine.

Salut Marc, qu’est ce que c’est que cette veste ?

Cette veste est une fleece jacket vintage de chez Patagonia. Je n’ai pas pu la faire expertiser encore pour connaître son année de production.

D’où est ce qu’elle vient ? Elle a une histoire particulière ?

Cette veste vient de Séoul, je l’ai acheté sur Ebay l’hiver dernier. J’aurais adoré pouvoir raconter une histoire singulière, qu’elle a été porté par un alpiniste écossais qui pratiquait le trek d’altitude lors de son temps libre.

Et toi, tu as une histoire vécue avec cette pièce ?

J’ai 2 histoires attachées à cette pièce. Comme vous pouvez le constater sur les photos, cette veste donne l’impression qu’elle est conçu à base de laine de mouton brute non traitée. Du coup, lorsque je l’ai porté pendant les froides soirées de janvier, beaucoup de personnes en ont profité pour me tomber dans les bras.

L’autre histoire c’est plus de l’usage, mais à chaque fois je la dépose dans un pressing la personne la retourne systématiquement pensant que je portais la veste à l’envers.

Layering 101.

Qu’est ce qui fait que tu l’aimes particulièrement ?

Avant tout, j’aime cette pièce pour les bénéfices fonctionnels qu’elle m’apporte. Ce vêtement est très léger, il empêche le froid de pénétrer, on est protégé des vents puissants et tranchants. Je suis encore épaté par la légèreté de cette veste aux performances climatiques exceptionnelles. Il faut savoir que chez Patagonia chaque vêtement a été mis au point par de vrais alpinistes dans les vraies conditions d’une expédition. Ce sont des vêtements techniques conçus pour résister à des conditions exceptionnelles tout en pensant au bien-être dans l’effort, c’est pour celà qu’elle est si légère et agréable à porter.

Lorsque je la porte, j’adore repenser à toutes ces mises au point, à tous ces essais que Patagonia a conçu pour créer le vêtement le plus performant possible. Quand il m’arrive de passer beaucoup de temps à l’extérieur dans un climat sec et froid avec pas mal de vent, je l’endosse avant de faire mon marché ou les vides-greniers du dimanche.

Qu’est ce que tu aimes ou recherches en général quand on touche au vêtement ?

C’est un mélange d’émotions, mais je recherche d’abord une fonctionnalité. J’adore m’entourer de vêtements qui ont une histoire. Ça peut être dans sa fabrication ou dans son ancienne vie. Il est aussi important que la pièce soit intemporelle pour 2 raisons : je ne veux pas qu’elle soit un accessoire de mode mais un vrai classique que je pourrais porter toute ma vie et donner à mes enfants. Je veux aussi écrire l’histoire de ce vêtement en le portant dans telle ou telle circonstance et en la combinant avec d’autres vêtements pour créer mon propre style.

En hiver on imagine facilement y trouver du réconfort.

Qu’est ce que tu penses de la mode en général ?

Après la mode en terme de marques, je suis allergique aux H&M, Zara, et toutes autres chaines qui fabriquent des vêtements de mauvaise qualité et déforment les classiques avec des détails et des matériaux de mauvaise qualité.

La mode, je n’y prête pas trop attention. Mon inspiration, je la trouve en me documentant en ligne, dans des magazines spécialisés sur les vêtements, mais aussi dans la rue et notamment en observant  les personnes agées.

Quelle marque a particulièrement retenu ton attention ces derniers temps ?

Il y en a beaucoup. Je peux vous citer Haversack par exemple. C’est une marque que j’ai découvert lors de mon voyage à Tokyo. Tout est fait main en petites séries avec des tissus de grande qualité. Ils sont influencés par les vêtements traditionnels militaires et workwear. Bien sur les coupes sont plus modernes. J’adore aussi le fait qu’ils viennent glisser quelques pièces qui sont hors de cet univers comme une écharpe à pois en soie que j’ai acheté. J’aime le fait que leurs vêtements soient intemporels et qu’ils osent associer subtilement des styles classiques d’univers différents.

Une doublure qui respire.

Pour toi la notion de marque est elle importante ? qu’est ce que tu recherches chez une marque ?

Ça n’est pas ma priorité, lorsque j’achète un vêtement je recherche d’abord la pièce. Après oui, il y a beaucoup de marques de vêtements qui me plaisent et si elles éditent la pièce que je recherche tant mieux.

Chez une marque, je recherche une qualité de fabrication, une éthique, un savoir faire d’artisan, des pièces édités en petites séries, j’aime ce sentiment de rareté. J’ai aussi besoin qu’elle me surprenne, qu’elle se renouvelle sans se faire piéger par tout ce qui est à la mode mais en restant fidèle à son ADN.

Merci Marc !

Vous pouvez lire les recettes incroyables de Marc dans notre catégorie Fourchette.

Olivia et sa veste Replay

Notre catégorie Garde Robe était morte d’elle même il y a déjà quelques temps: elle manquait cruellement d’intérêt et se bornait à une sélection shopping inabordable. Je me permets de garder le nom et de la transformer de fond en comble en invitant des lecteurs de redingote à nous parler d’une pièce intéressante qu’ils affectionnent tout particulièrement. L’idée est de faire ressortir les points de vues divergents ou différents qui cohabitent au sein d’une même matière, sans pourtant jamais manquer de justesse ou d’intérêt. On peut aussi y voir une certaine manière de s’affranchir des courants stylistiques relayés par les blogs, qui ont malheureusement tendance à beaucoup se ressembler de temps à autre. Contrairement à ce que certains gurus numériques de la mode réussissent parfois à faire entendre: il n’y a pas de recette miracle et pour beaucoup il suffit d’être spontané et d’assumer ce que l’on a sur le dos pour le maitriser.

L’idée est aussi que vous ne soyez pas timides: envoyez nous des emails pour donner de votre personne et participer, ce sera forcément sympa de se rencontrer autour d’un café ou d’un verre de vin pour parler (de votre) chiffon.

Olivia, qui aime le vélo.


Allez assez palabré, on commence avec une fille pour marquer le coup: Olivia et son inséparable veste Replay.

Salut Olivia, qu’est ce que c’est que cette veste ?

C’est ma veste fétiche! Une Replay un peu style Teddy, en jean un peu clair et skai noir avec deux micro poches devant et un fabuleux « HARLEM SUPERSTAR » floqué dans le dos accompagné d’étoiles rouges. Avant il y avait du blanc aussi mais il a disparu. Le skai est complètement défoncé voir déchiré à certains endroits et il y a des rappels de rouges sur les manches et le col.

D’où est ce qu’elle vient ? elle a une histoire particulière ?

Je l’ai trouvé à une vente de presse où me trainait souvent ma mère avant. Ca devait être il y a 9 ans, j’étais un peu rebelle et j’avais décidé de toujours acheter des fringues qu’elle n’aimait pas. Là, le sky, les étoiles derrière, j’ai complètement craqué. J’ai pas mal bataillé pour la ramener à la maison mais depuis elle ne me quitte plus.

Un bord côte usé jusqu’à la corde.

 

Et toi, tu as une histoire vécue avec cette pièce ?

DES TAS! Je pense qu’au lycée j’ai fait les pires conneries dedans! Elle me paraissait indispensable pour ma « street crédibilité »! Je la mettais à chaque soirée un peu coule, ça m’étonnerais pas que je l’ai mise pour la première soirée Mort Aux Jeunes où on été allé avec Robin (l’autre). Maintenant je la mets un peu moins parce que j’ai d’autres vestes puis elle est pas mal usée.

Qu’est ce qui fait que tu l’aimes particulièrement ?

Déjà ce qui est super important, c’est que je n’ai jamais vu personne avec cette veste. C’est débile mais du coup j’ai l’impression d’être propriétaire d’un élément complètement unique. Parce que en soit, c’est surement pas ma plus belle veste mais elle est originale et c’est généralement ce qui me plait.

L’usure d’un vêtement ça joue beaucoup sur ta manière de l’appréhender ? est ce que ça apporte quelque chose ?

Je m’habille pas mal en fripe. Il y a des vêtements dont l’usure ne me dérange pas, les vestes par exemple, le reste moyen. Celle là, elle est trouée de partout mais c’est moi qui l’ai usée, qui ait mis les badges (à la base pour cacher le R de Replay) et qui l’ai déchiré. D’un côté ça l’a rend encore plus personnelle toute ces marques du temps.

Un denim Replay, 9 ans d’âge.

Qu’est ce que tu aimes ou recherches quand on touche au vêtement ?

Je fonctionne pas mal au visuel. Il y en a qui vont plutôt s’intéresser à la matière mais personnellement je pense que c’est surtout la couleur et la forme qui m’intéresse. La plupart du temps, plus c’est bizarre plus ça me plait, mais du coup ça fait des combinaisons étranges parfois…

Qu’est ce que tu penses de la mode en général ?

Ca m’intéresse mais pas tant que ça. Je marche plus au coup de coeur, mais je pense que malgré moi je suis surement influencée dans mes choix par ce que les gens portent autour de moi ou sur les pubs.

Des badges, pour camoufler.


Quelle marque a particulièrement retenu ton attention ces derniers temps ?

hum…là tu me poses une bonne colle. Le dernier truc neuf que j’ai acheté il venait de chez COS je crois mais je n’aime pas du tout l’intégralité des collections. Sinon j’aime pas mal Isabelle Marrant et Castelbajac mais j’ai jamais rien acheté chez eux, c’est beaucoup trop cher.

Pour toi la notion de marque est importante ? qu’est ce que tu recherches chez une marque ?

Non, la seule raison pour laquelle je mets un peu plus d’argent dans des vêtements c’est quand je sais que je vais avoir envie de le garder longtemps et que c’est de la bonne qualité.

Merci Olivia !

Si vous avez du temps de surf de libre, notez qu’Olivia aime le vélo.


Street cred.

Le meilleur pour la fin: « Original Harlem Replay Superstar »

6ème salon du vintage de Paris

D’année en année le salon du Vintage de Paris prend de l’ampleur de manière considérable !

La 6ème édition se déroulera dans l’espace des Blancs Manteaux, au 48 rue vieille du temple, samedi 25 et dimanche 26 septembre. L’endroit vous ouvre ses portes de 10h à A9h et dispose d’une surface deux fois plus importantes que pour les précédentes éditions. Il accueillera 80 exposants, tous spécialistes du vêtement, de la mode et du design. L’entrée devient libre et gratuite , c’est donc une bonne occasion de chiner un peu si vous n’avez ni le temps ni le reflex de parcourir les brocantes de Province tout au long de l’année !

Tweed Run – pignon sur rue


Tweed Run

Il y a quelques semaines a eu lieu à Londres la seconde édition du Tweed Run.

Cet événement, qui a vu le jour suite à une discussion sur un forum de pignon fixe londonien, a permis à 400 personnes toutes de tweed vêtues de défiler à vélo dans la capitale anglaise.

Les participants moustachus ont parcouru la ville vêtus de casquettes de tweed, de tenues de campagne et de vestes de chasse aux couleurs automnales. L’occasion de participer à diverses activités organisées par les partenaires de l’événement : concours de moustaches improbables dans un pub, « cup of tea » dans un parc et élection de la meilleure tenue sur Saville Row.

Les organisateurs  peuvent se vanter d’avoir au sein de leurs sponsors H Huntsman & Sons, la traditionnelle maison de tailleur de Saville Row. Les fonds récoltés ont permis d’envoyer un beau chèque à l’association caritative Bikes4Africa.

Ce défilé fut un plaisir pour les yeux, aussi bien grâce aux tenues que grâce aux vélos : beaucoup de vieux vélos porteurs rénovés, d’élégants hollandais et de fixes colorés… Tout ceci s’est déroulé dans une ambiance plutôt bon enfant, il paraît même que la voiture de queue distribuait du gin aux participants …

Ci-dessous quelques photos de participants et de leurs montures que j’ai pu prendre juste avant le départ.

www.tweedrun.com

Tweed Run

Tweed Run

Tweed Run

Tweed Run

Tweed Run

Tweed Run

Tweed Run

Capsule, Paris

Capsule Paris

Comme nos amis de chez Hell’s Kitchen, vous pourrez nous croiser ce week end à (capsule), le salon de prêt à porter organisé par l’agence bpmw (qui tient le blog WeAretheMarket) et devenu référence à travers le monde et en quelques saisons.

Il se tient du vendredi 22 au  dimanche 24 janvier 10 rue du Parc Royal et accueille entre autres de belles marques comme Nom de Guerre, Our Legacy, S.N.S Herning, Filson et Baracuta pour ne citer qu’elles…

Loin des paillettes des défilés qui auront lieu en même temps, le salon permet de réellement discuter avec les créateurs ou responsables des marques d’une manière très simple, et c’est assez agréable quand on a affaire à de véritables passionnés de matières et de techniques de fabrication.

Si vous êtes journaliste, styliste ou encore distributeur il vous suffit de vous inscrire ici et de présenter votre carte de visite à l’accueil pour nous rejoindre. Si vous le faites n’hésitez pas à nous envoyer un mail, on sera très content de vous rencontrer !

Capsule Paris

Capsule Paris

Bastien Lattanzio pour Golden Hook, aperçu #1

Bastien Lattanzio shoot pour Golden Hook

Voici quelques images « backstage » du shoot de Bastien Lattanzio pour Golden Hook au ChaCha. Elles retranscrivent assez bien l’ambiance qui régnait ainsi que la manière de travailler de Bastien et des modèles Gaspard et Gwendoline, en bref elles donnent un bon aperçu de la réalisation d’une série photo mode. Un petit mot rapide pour remercier tout ceux qui ont jeté un oeil au live mardi après midi, même si nous avions des doutes à propos de l’utilité de la diffusion au début, l’expérience s’est tout de même révélée amusante.

Bastien Lattanzio shoot pour Golden Hook

Bastien Lattanzio shoot pour Golden Hook