Jacques-Yves Cousteau
Crescendo, l'illustré & autres
Pour ceux qui n’auraient pas eu l’occasion de passer sur le site, trop occupés à trier leurs flux rss, notez qu’une nouvelle rubrique à vu le jour. Dorénavant vous pourrez retrouver Vincent, qui éditera Crescendo et qui nous fera part de sa passion pour la musique classique. Avec ces stars de l’électro/techno/hiphop/mégarap/graphico/souskanye/néodisco/postfalco qui naissent et meurent chaque jours sur la toile, cela nous fera le plus grand bien de nous reposer les oreilles au moins une fois par semaine.
Les flux ne sont pas mélangés, afin que nos lecteurs les plus anciens ne souffrent pas d’un quelconque changement de leur côté, vous avez néanmoins la possibilité de vous abonner à Crescendo ici.
redingote suit donc son bonhomme de chemin, que vous pouvez suivre via Twitter / Facebook ou encore notre Tumblr, pour découvrir quelques perles esthétiques que nous aimons particulièrement.
Antoine de Saint-Exupéry
Chevignon Togs Unlimited
La pièce est célèbre et assez omniprésente sur le net français ces derniers temps, il est vrai. Il n’y a pas de raison pour que l’on fasse exception, Chevignon ayant très bien ficelé sa campagne. redingote se transforme donc le temps d’un post en blog de fille et en profite pour s’exhiber, doudoune Chevignon & Togs Unlimited sur le dos.
À vrai dire nous avons vraiment été surpris de la qualité du produit et du soucis apporté aux finitions. La version sans manche est donc une véritable réussite tant niveau confort que réalisation, les broderies à l’effigie du canard sont elles aussi particulièrement soignées.
Sortie en série limitée elle est disponible à Paris dans ces quelques points de vente: Le66, Bubble Wood, Citadium, Merci et BrandBazar.
Merci Mathieu en tout cas ;).
Bach – Première Suite pour violoncelle – Rostropovitch
Jean-Sébastien Bach représente l’apogée de l’époque baroque. Sa musique a influencé la construction et le développement de toute la musique occidentale jusqu’à aujourd’hui.
Je vous laisse simplement profiter du prélude de sa première Suite pour violoncelle, interprété par un autre géant de la musique, Mstislav Rostropovitch.
« Il y a d’abord Bach … et puis tous les autres. » – Pablo Casals
Thème du prélude :
Pour les amateurs, la suite complète en vidéo se trouve ici.
Sergueï Rachmaninov – 24 Préludes
Après la Norvège et Edvard Grieg, c’est vers la Russie que je me tourne pour vous laisser découvrir ou redécouvrir des extraits des 24 préludes de Sergueï Rachmaninov.
Il serait bien trop difficile de faire une sélection au sein de l’oeuvre complète de Sergueï Rachmaninov. Nous nous attarderons donc simplement à ses préludes pour piano. Il compose 24 préludes au total, dans les 24 tonalités de la gamme comme le fit Frédéric Chopin 60 ans plus tôt. Le compositeur polonais est d’ailleurs une grande source d’inspiration pour Rachmaninov.
Son premier prélude (en ut dièse mineur) connaît très vite un immense succès. L’oeuvre est rapidement découverte par les auditeurs européens puis américains, cette popularité dégoûtera définitivement Rachmaninov de la pièce et il finira même par la rejeter… Elle reste pourtant encore aujourd’hui un « tube » qui ne cesse d’être jouée en concert…
Prélude n°1 en ut dièse mineur :
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Le second prélude que je vous propose est issu de l’opus 23 (sa première série de préludes). Le n°9 (presto) est pour moi l’un de ses plus beaux. Très court (1 minute et 46 secondes), beaucoup plus raffiné que le premier, c’est un petit bijou qu’on ne se lasse pas d’écouter et de réécouter… jugez vous-même !
Prélude n°9 en mi bémol mineur, Presto :
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Ian Curtis
Edvard Grieg – Première Suite Peer Gynt
Rassurez-vous, le fond de redingote n’a pas prévu de changer. On aime simplement beaucoup la musique, on en parlera donc régulièrement.
Pour cette entrée en matière, nous allons à la rencontre d’Edvard Grieg pour son oeuvre la plus connue : la première suite op. 46, d’après la musique de scène de Peer Gynt.
Tout le monde a sans doute déjà entendu des extraits de cette oeuvre à travers ses nombreuses reprises publicitaires, cinématographiques, ou bien encore télévisuelles… Au contraire, les néophytes n’auront sûrement que très rarement (voir jamais) entendu le nom d’Edvard Grieg. Il est pourtant le plus grand compositeur Norvégien, dont la notoriété à bien dépassé les frontières scandinaves.
Il connait en effet la gloire grâce à la musique de Peer Gynt, qu’il compose en 1874. Plus tard, il connaîtra également le succès à Paris et dans toutes les villes européennes qu’il visitera pour diriger lui-même son concerto pour piano et ses deux suites.
Les extraits de la première suite ci-dessous sont le fruit d’un arrangement de sa propre musique de Peer Gynt (1874) qu’il réorchestre pour orchestre symphonique en 1888.
L’extrait n°1 proposé est le premier mouvement « au matin » de la première suite op. 46.
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L’extrait n°2 est le quatrième mouvement de la même suite « Dans l’antre du roi de la montagne ». (repris dans de nombreuses publicités)
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Thème du quatrième mouvement Dans l’antre du roi de la montagne :
Photos d’Edvard Grieg © LIFE